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Madame Bury Palliser l'avait déjà cité (i), M. Ernest Lefébure l'avait aussi mentionné (2), de même que Guilmard (3) et M. L. Dimier projeta une vive lumière sur son auteur, dans une des études qu'il consacra aux artistes de la Renaissance Italienne qui étaient venus travailler à la cour de François I*' (4). Le nom de François Pellegrin, inscrit après le frontispice, sur le second feuillet qui porte le privilège d'imprimer délivré par le roi François I*', est .maintes fois mentionné dans les Comptes des Bâtiments du Roi à l'article de Fontainebleau; il fut en effet un des principaux auxiliaires du Rosso. Il avait même précédé en France ce dernier, à en croire Vasari qui parle à plusieurs reprises de Francesco di Pellegrino, le Florentin, peintre et sculpteur; et la date de 1530 insérée dans le privilège de ce petit Jivre vient le confirmer. Ce livre vient aussi nous démontrer de quels éléments variés et complexes était formé le talent de ces artistes de la Renaissance. En voici un qui collabora aux peintures et aux stucs qui décoraient la Galerie de Fontainebleau et il se montrait en même temps capable de dessiner avec une rare facilité un livre de patrons de < broderie » où sa connaissance de la décoration orientale était assez étendue pour lui permettre les multiples variations où sa fantaisie sut se com- plaire. Diverses questions se présentent tout d'abord. Quels pouvaient être les objets de l'Orient musulman que dans la première partie du xvr siècle un artiste de la Renaissance Italienne pouvait connaître, sans être sorti de la Péninsule, ceux que l'importation avait pu lui révéler et qui avaient pu être les sources où il avait su puiser les éléments de son répertoire décoratif? Les principaux élé- ments du décor que Pellegrin dans les planches de son livre sut mettre en œuvre, sont le rinceau, l'arabesque et Tentrelac. Le rinceau, il pouvait le (i) Bury Palliser. — History of lace. Appendix p. 429. London 1865. (3) Lefébure (Ernest). — Broderie et Dentelle, p. 189. Paris, Quantin. (3) Guilmard. — Les maîtres ornemanistes, n* 99. (4) Dimier (Louis). — François Pellegrin, peintre et sculpteur de Fontainebleau. Annales de la Société archéologique du Gâtinais (190 1). — 6 — rencontrer dans les étoffes, objets d'échange très portatifs, que les caravelles apportaient du bassin oriental de la Méditerranée, de TEgypte, de la Syrie, et qui pénétraient en Italie par Palerme ou Amalfi, ou bien par Venise. Nous savons que dans la plupart des villes d'Italie existaient des quartiers orientaux, et même de vrais bazars où s'amassaient les objets apportés de l'Orient, comme au Fondaco dei Turchi à Venise. C'était vraisemblablement très près de là que les incrusteurs des cuivres avaient établi leurs ateliers; beaucoup étaient orientaux, tels que ce Mahmoud le Kurde ou ce Kasim dont nous avons relevé les noms sur quelques cuivres gravés vénitiens. Les pièces sorties de leurs mains portaient d'élégantes arabesques, de vigoureux entrelacs, et répandues dans toute l'Italie, elles y rendaient familières ces formules du décor oriental (voir un beau plateau vénitien incrusté d'argent de la collection Chabrière Arles). — D'un autre côté, Pise était l'entrepôt maritime des belles céramiques à décor lustré qui provenaient des ateliers hispano-mauresques et cette importation d'Espagne était devenue si intense en Italie, que le mot «majolique» provenant du nom de Majorque, escale obligée de ces transports, fut à partir de ce moment adopté pour y désigner toute espèce de céramique. Les beaux motifs d'arabesques et d'entrelacs fixés en reflets d'or sur des pièces comme le vase de l'Alhambra, sur un vase analogue du Musée de Palerme, sur des pièces plus portatives comme la jolie coupe de la collection du D' Sarre à Berlin, ont pu manifestement influencer les artistes ita- liens du XV et du xvr siècle. Cette influence fut incontestablement subie par Pellegrin, et si elle se retrouve, comme nous le verrons, très nettement chez beaucoup d'autres graveurs-décorateurs du xvi* siècle, nulle part nous ne l'avons constatée aussi continue et franche que dans ce recueil où dans aucune page l'auteur n'a cherché à s'y soustraire. Il est d'ailleurs à peu près le premier en date (1530) dans ce genre de décoration : un seul recueil de gravures semble l'avoir précédé, celui de Peter Quentell, paru en 1337, que suivit plus tard une suite du même graveur parue en 1344, dans lesquels des rosaces à entrelacs très orientaux et des bandes d'arabesques gravées en réserve blanche sur fond noir alternent avec des rinceaux de la plus pure Renaissance (i). Le Vénitien Tagliente fut absolument un contemporain de Pellegrin^ un de ses recueils est daté de 1530 (a). Sous le titre, des femmes assises à leurs métiers indiquent assez le travail auquel ces lùodèles sont destinés : mais à la suite de purs modèles de dentelles à motifs géométriques, d'admirables pages sont couvertes d'entrelacs et d'arabesques. Et ces Mêmes ornements se retrou- vent dans un autre i^scueil Vénitien de 1537, de Niccolo d'Aristotile detto Zoppino. « (i) Quentel (Peter) Bnichstuck eines modelbuches 1527. (Bibliothèque du Kunstgew. Muséum zu Berlin, n« 887. — .Quentel (Peter) ein neu Modelbuch 1544. (Bibliothèque de M. Ed. Foule). (s) Tagliente. Opéra nuova che insegna a le dône a raccamare. Vineggia. Giouan Antonio e i fratelli da Sabbio. 1530. (Bibliothèque de M. Ed. Foule.) ^'■■t-iMm Puis voici le merveilleux livre au monogramme IG, un des plus précieux de la riche Bibliothèque de M. E. Foule, qu'on a voulu identifier, d'après les études de M. Natalis Rondot, avec Jean de Gourmont de Lyon, qui vivait entre 1530 et 1541, et qui fut le maître de Du Cerceau. Après leà compositions à personnages gravées du début, on y retrouve dans les belles arabesques qui décorent les feuilles finales, ce même trait si délié et si pur, qui' caractérise Du Cerceau dans ce beau recueil factice de feuilles de « damasquines » où l'arabesque court en volutes aisées et fines dont la planche fut fermement égratignée. Elégance et légèreté qui se transforment en force, autorité et puissance dans l'œuvre splendide au pseudonyme de Martinus Petrus (i), où des jambes et des bras de personnages au centre des pages partent des entrelacs et des rinceaux, alternant avec des feuilles -à décor géométrique de rubans d'un noir si beau. Mais aucun graveur n!approcha peut-être alors autant des compositions de Pellegrin que le grand maître allemand Peter Flotner. Dans un recueil de 40 pièces gravées (2) qui ne furent publiées qu'après sa mort survenue en 1546, on trouve en une exécution magistrale tout ce que mit en œuvre en se jouant la fantaisie savante de Pellegrin, c'est uç véritable répertoire de l'entrelac, de l'arabesque, du rinceau, du ruban entrelacé que l'eAcre fait valoir en vigueur sur le blanc crémeux du papier de Hollande. Et toutes ces belles qualités de l'ornement se retrouvent encore dans l'un des chefs d'œuvres du graveur de Nuremberg (3), où chaque figure d'Empereur porte au revers, sous la notice, une rosace d'ornements moresques, comme aussi dans l'œuvre de Virgilius Solis (4), toute pénétrée du même esprit décoratif. Après avoir mentionné enfin l'œuvre du graveur Néerlandais Baltazar Sylvius (5), où se retrouve encore une influence toute semblable, il semble bien que la courbe ait été suffisamment tracée du cheminement à travers le monde occidental des formules décoratives de l'Orient qui devaient y ren- contrer une singulière fortune. Nous devons nous demander maintenant à quels artisans de semblables motifs décoratifs pouvaient s'adresser, quels arts industriels de tels recueils pouvaient pénétrer de leurs formules nouvelles. Le titre de l'ouvrage de (i) Martinus Petrus. Livre contenant passement de moresques très utile à toutes gens exerçant le dict art en l'an 1563. (Bibliothèque de M. £dm. Foule.) (a) Peter Flotner. Gednickt zu Zurich Rudolff Wyzzenbach formschnyder 1549. Dans l'exemplaire de Ml. E. Foule sur une des feuilles, page d'en tète, on lit PF, 1546?? (3) Peter Flotner. Imperatorum Romanorum Imagines 1559. (Bibliothèque Nationale. Cabinet des Estampes NC, 4 in-^). (4) Virgilius Solis zu Nurmberg 1530. Moriske und Turckicher ein fâcher un d Duppel ter art zuglein durch. (Bibliothèque Nationale. Cabinet des Estampes EC. 7). (5) Baltazar Sylvius. Variarum protractionum quas vulgo Maurusias vocant Libellus. 1554. (Biblio- thèque Nationale EC. 7 j. réserve). — 8 — P^Uegrin est déjà très général ; « pourtraicture » doit être pris dans le sens de « composition », et ce terme était déjà employé au xiii* siècle pour indiquer ridée première, les grandes lignes constructives, le dessin de. composition d'un monument d'orfèvrerie, avant toute exécution technique. Le sous-titre <:patrons de broderie» induirait en erreur, si nous le prenions dans le sens étroit et moderne que nous donnons à toute une branche de Tart de décorer le tissu. Ici encore « broderie » doit être pris dans le sens général de « fantaisies déco- ratives, sujets ornementaux » et cela est si vrai que dans tous les recueils dont nous venons de parler, se trouvent mêlées des planches gravées de dessins tout prêts à être exécutés par les dentellières, à côté de décors de bouteroUes, d'armes ou de couteaux destinés aux ouvriers du métal, de bandes à arabesques ou à rinceaux pour les imprimeurs ou les relieurs, de rosaces à entrelacs et de compartiments à décor géométrique, de larges rubans pour les ouvriers céra- mistes des carrelages. Mais il est manifeste que pour tous les artistes du décor de cette époque, un livre comme celui 4e François Pellegrin, dut être un bréviaire quotidienne- ment repris. Je ne saurais en terminant oublier que c'était à M. Furcy Raynaud, Biblio- thécaire à l'Arsenal, que devait échoir l'honneur de publier ce joli livre, un des plus précieux dont il ait la garde. C'est avec une infinie bonne grâce qu'il me l'apporta un jour, en me disant que le parfum fugace de l'Orient qui s'en déga- geait me le ferait aimer, et m'engagerait à le présenter au public comme une rare fleur acclimatée sous notre ciel. Gaston MIGEON. Hafleuroelafctenceoe p>ouitrdJcture fr.- tUmttt^ IMtra itaet Se Meu Rof De fcanaMuft piwvfi tt taifff 9^ Aatie/ou fc« f^utetiaiM éSt a (oue 1105 ciiif cee mfiUittû $ftfuf « Sf; feccioi) KeaueaHonê (9i*ni6f(fKPPf(cfffiiin5iiAMftNce$(to ce qutf foft fopfttfrc nepcmtfo* mifi^'MdceCiMJiec ICNtfhsIicf cff«iirme^fniiffincrtt( fifce impiimniitthiitlmt^MHM Hp9 ^tpcAie 9ef«iiilScccemijftfca«oi)^f <(5 ft'iticeqii< fc Uou wnnftidûtuiUtfU 9êttu(i^hni^t^,^%wtnuuê9mtta(^bt%9W^eÊmma(uf(9ppatttfy fie Cbieèc ii^fiefeft69oif/»dio(/r(peciiiv¥r. •.V'»\ -1— .QMiï m "TT^ .Tjrrrrrai I KfVtl bt wt B^IBMitfMa^BAaata I .^^A-WL^klg El ^^ ^^yyf^m -^ ï uv^;^'i^;liîà;aj^ TmT] îtiiit T^Wfi^-yiSi LA TTCf^CSCn jT^ft A Î1L t tMit JED* ncyt rrrit ji m ^ ss^ JHL ntiit fUtni» mth nM* ■ fiM mt>it ÉÊÊÊm tiM ncttrtti» an îrrr ai ■ JigLi^ l L^ ' ^Jil IIM. (LW. 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